Dépénalisation partielle de l’avortement
Adoption le 3 avril 1990 de la loi Lallemand et Michielsens qui dépénalisera partiellement l’avortement, suite à une « impossibilité de régner » du Roi Baudouin.
Par Eloise Malcourant|3 avril 1990|Catégories : Historique|
Adoption le 3 avril 1990 de la loi Lallemand et Michielsens qui dépénalisera partiellement l’avortement, suite à une « impossibilité de régner » du Roi Baudouin.
Par Eloise Malcourant|1 janvier 1984|Catégories : Historique|
Les centres de planning familial des Soralia sont fédérés afin d’assurer leur représentation spécifique à divers niveaux de pouvoir. Afin de permettre au plus grand nombre de femmes d’avorter dans de bonnes conditions, la Fédération pilotera l’implantation d’un centre extrahospitalier Soralia par province.
Par Eloise Malcourant|1 janvier 1973|Catégories : Historique|
Le docteur Willy Peers est arrêté et emprisonné pour avoir pratiqué plus de 300 avortements à la maternité régionale de Namur. Par son acte de désobéissance civile, il contribue à briser le silence entourant la pratique de l’IVG. En 1973, on assiste aussi à la légalisation de la contraception. Les contraceptifs sont désormais assimilés aux médicaments, leur diffusion est partiellement libéralisée et leur publicité autorisée. Ensuite, il y aura une trêve judiciaire en matière d'avortement faisant suite à la vague de soutien suscitée par l'arrestation du docteur Peers c'est-à-dire que les poursuites seront momentanément suspendues.
Par Eloise Malcourant|1 janvier 1970|Catégories : Historique|
Le Ministère de la Santé publique agrée les centres dits « de consultations prématrimoniales, matrimoniales et familiales ». L’action des Soralia est renforcée et de nouveaux centres sont créés dans les différentes provinces.
Par Eloise Malcourant|1 janvier 1965|Catégories : Historique|
C'est Bruxelles qui accueillera ce premier Centre.
Par Eloise Malcourant|1 janvier 1923|Catégories : Historique|
Pour des raisons natalistes, l’information et la distribution de toute forme de contraception est interdite par la loi du premier ministre Carton de Wiart.
Par Eloise Malcourant|1 janvier 1867|Catégories : Historique|
L’avortement est inscrit dans le Code pénal comme un « crime contre l’ordre des familles et la moralité publique ». Réalisés dans la clandestinité, les avortements entraînent très souvent des complications, voire la mort.